À la suite du tragique accident de bus scolaire survenu en Eure-et-Loir au mois de janvier, qui a coûté la vie à une adolescente de 15 ans, Yves NICOLIN a annoncé la mise en place de contrôles antistupéfiants pour les conducteurs de bus. Ces tests viendront compléter les contrôles d’alcoolémie déjà en vigueur afin de renforcer la sécurité des transports en commun.
Une mesure préventive pour éviter de nouveaux drames
La responsabilité des conducteurs de bus est immense, notamment lorsqu’il s’agit de transporter des enfants. Dans un souci de prévention et de sécurité, Yves NICOLIN a décidé d’agir rapidement en instaurant des tests salivaires de dépistage des stupéfiants. Ces contrôles seront réalisés directement sur le terrain par la Police Municipale et la Police Nationale, avec une mise en application aussi rapide que possible.
Des contrôles similaires à ceux de l’alcoolémie
Tout comme les tests d’alcoolémie, les tests salivaires permettront de détecter la consommation de substances illicites pouvant altérer les réflexes et la vigilance des chauffeurs. La mise en place de ces contrôles vise à assurer que chaque conducteur soit en pleine possession de ses capacités avant de prendre le volant.
Une réponse ferme pour une sécurité optimale
Face aux risques que représentent l’alcool et les stupéfiants au volant, cette initiative est une réponse concrète aux préoccupations des familles et des usagers des transports en commun. La Ville de Roanne et Roannais Agglomération réaffirment ainsi leur engagement en faveur d’un service public de transport sûr et fiable.
Avec cette nouvelle mesure, les autorités espèrent non seulement éviter tout drame similaire à celui survenu en Eure-et-Loir, mais aussi envoyer un message fort sur la tolérance zéro en matière de conduite sous influence.
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